3 projets indispensables mais "oubliés" par le Conseiller général sortant.

Publié le par jf-renard2011.over-blog.com

2X2 VOIES D’ARTHIES

Promises depuis plus de 10 ans, il est maintenant primordial de s’occuper du dossier avec l’ensemble des acteurs (Conseil général et Conseil régional). La déviation d’Arthies doit permettre  d’éviter la traversée de la commune par les camions. La RD 983, qui traverse le village sur toute sa longueur, relie l’agglomération de Mantes-la-Jolie à Magny-en-Vexin et à la région de Beauvais. Elle est empruntée chaque jour par plus de 6000 véhicules, dont environ 2 000 camions qui créent un danger permanent. 

Depuis de nombreuses années, le maire Michel Fleurier, décédé fin 2010, réclamait une déviation dont le principe a été adopté par le Conseil général. Celle-ci traverserait un espace humide habité notamment par des grenouilles ce qui nécessite une étude d’impact spéciale. Le président du Conseil général, M. Arnal s’est plaint des contraintes particulières du Parc naturel régional du Vexin Français, qui ralentissent les procédures et rendent les équipements plus coûteux !

Oui, nos territoires ruraux protégés demandent des études et des équipements plus complexes et plus coûteux mais, ce n'est pas une raison pour ne pas les réa-liser ! Élu Conseiller général, je m'engage dès mon élection à défendre ce dossier auprès de l'Assemblée départementale et les autorités compétentes pour que les travaux de cette déviation indispensable puissent enfin commencer.


Arthies.jpg

En 2005, dans sa "Lettre du Conseiller général M. Muller" nous informe qu'il manifeste aux côtés des habitants et nous promet une mise en service en 2009. Depuis...plus rien !


CONTOURNEMENT DE LA CHAPELLE-EN-VEXIN

Trois profils possibles ont aujourd'hui été déterminés : le tracé sud (côté église et route de Montreuil). Le tracé nord dit “tracé historique” réalisé en 1955 (coté cimetière), le tracé grand nord qui chevauche sur le département de l’Oise. Ce dernier semble écarté aujourd’hui de part la complexité de sa réalisation.

Pour la grande majorité des habitants le tracé nord dit “tracé historique”, offre le meilleur compromis tant sur le plan environnemental que sécuritaire (le tracé sud nécessitant une traversée de la Commune). Bien que les estimations des avantages et des inconvénients réalisées lors des études soient favorables au tracé nord, l’ABF (Architecte des Bâtiments de France) et la DIREN (Direction Régionale de l’Environnement) s’y opposent prétextant, entre autre, une emprise sur le périmètre classé de l’église pour le premier tracé et des nuisances sur la faune et la flore pour le dernier.

Pour répondre à l’inquiétude légitime des habitants et utilisateurs, Joël Pillon, Maire de la Chapelle-en-Vexin souhaite qu'une solution dans l’intérêt général puisse être trouvée. Je lui accorde mon soutien.

Élu Conseiller général, je m'engage à défendre ce dossier en prennant en considérationles préoccupations des habitants situés au nord de la RD 14. En attendant la mise en service, je m'engage à trouver des solutions provisoires pour régler les problèmes de sécurité liés au flux incessant de près de 15 000 voitures et 2 000 camions, qui traversent quotidiennement la commune (entre 2001 et 2010, 12 personnes ont perdu la vie sur ce tronçon).


GYMNASE DU COLLÈGE ROSA BONHEUR  
À BRAY-ET-LU

Ce collège, situé à l’extrémité du département et du canton a été construit sans gymnase. Le maire, de la ville souhaitant avec le soutien très actif du Conseiller général sortant, édifier un équipement communal plus grand. Résultat : pas de gymnase  pour le collège ni pour la ville !

Mme Drolon, Maire de la commune, a tout bonnement essayé de faire financer son équipement de sa ville par les 17 communes dont les enfants fréquentent le collège. Mais, depuis 2005, aucune entente sur le mode de financement, n'a été trouvée et les études menées par Bray-et-Lu (dont elle a voulu aussi nous faire payer la note !) sont caduques. Un gymnase de collège doit servir d’abord au programme obligatoire et peut être mis ensuite à la disposition de la commune pour les activités extra scolaires et associatives. Les équipements scolaires ne doivent en aucun cas constituer des enjeux politiques.

Élu Conseiller général, je réouvrirai immédiatement le dossier et je proposerai tout simplement, comme ses attributions le lui imposent, que ce soit le Conseil général qui finance et mène à bien la réalisation du projet dans les plus brefs délais.


Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article